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30 novembre 2020

NATHALIE VALLERAND – Le Médecin du Québec

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L’automne dernier, la Dre Thérèse Nguyen a adhéré à la nouvelle communauté de pratique des médecins en CHSLD (www.cpmchsld.ca). « Les cliniciens en CHSLD travaillent souvent seuls, constate l’omnipraticienne qui est chef de service des CHSLD du CISSS de Laval. Je suis devenue membre pour prendre contact avec d’autres chefs. Je veux ouvrir la discussion sur des enjeux comme les plans d’intervention médicale d’urgence ou la communication avec les gestionnaires. Je pense qu’on peut apprendre les uns des autres pour améliorer notre pratique et les soins aux patients. »

Tout médecin de famille ou médecin spécialiste qui œuvre en CHSLD ou éprouve un intérêt pour ce type d’établissement peut faire partie de cette communauté. Au début de novembre, elle comptait 345 membres.

Les échanges se font dans des forums en ligne sur la plateforme virtuelle Teams. Une douzaine de canaux de conversation proposent autant de sujets : prévention et contrôle des infections, éclosion de COVID, cogestion, tests et dépistage, deuil, réadaptation, etc. Des webinaires sont aussi présentés sur Teams, comme celui d’octobre dernier sur la thromboprophylaxie et les corticostéroïdes dans la prise en charge de la COVID-19 en CHSLD.

La Dre Nguyen a utilisé la plateforme pour lancer une suggestion qui a suscité un vif intérêt chez ses pairs : effectuer le dépistage hebdomadaire de la COVID-19 auprès du personnel des CHSLD à l’aide d’un test salivaire. « Comme c’est moins effractif qu’un prélèvement nasal avec écouvillon, le taux de participation est plus élevé, explique la clinicienne qui exerce au CHSLD Sainte-Dorothée et au GMF-R de la Polyclinique médicale Fabreville. De plus, cette méthode permet de détecter plus rapidement les personnes infectées, ce qui diminue les risques d’éclosion. » Le CISSS de Laval a été le premier au Québec à utiliser cette technique après la mise au point d’un test par son laboratoire de microbiologie.

« La communauté de pratique est une formule idéale pour partager de bonnes pratiques, trouver des réponses à des problèmes et réseauter », affirme pour sa part la Dre Sophie Zhang, médecin de famille et cochef adjointe de l’hébergement du CIUSSS du Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal. Elle fait partie des instigateurs de l’initiative, avec les médecins de famille Élise BoulangerCatherine RicherAndrée Robillard et Neb Kovacina, ainsi que les gériatres Julia Chabot et Quoc Dinh Nguyen. Les sept praticiens, qui se sont connus lors de la première vague de COVID-19, composent maintenant le comité directeur de la communauté de pratique des médecins en CHSLD.

Une station pour évaluer le patient à distance

Médecin de famille au GMF-U de Lévis et au CHSLD Paul-Gilbert, le Dr Julien Quinty a une passion pour la télésanté. Il a récemment lancé dans la communauté de pratique un canal de conversation sur ce sujet. Et il y a présenté sa nouvelle création : une station mobile de télésanté (photo).

Le Dr Quinty a fabriqué l’appareil à partir de l’équipement de prise des signes vitaux qu’on roule d’une chambre à l’autre. Il y a ajouté un bras articulé acheté sur Internet, une tablette électronique et le filage pour la charger.

La nouvelle station devient les yeux du médecin. « Une image vaut mille mots, explique son concepteur. Il est préférable de voir une plaie que de se la faire décrire. Un autre avantage de la station mobile : l’infirmière a les mains libres. Elle n’a plus à tenir la tablette tout en défaisant le pansement du patient, par exemple. »

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Pour la Dre Thérèse Nguyen, la station mobile présentée par le Dr Quinty tombait pile. Elle cherchait justement un moyen de faire de la téléconsultation avec les résidents des CHSLD. « Quand je suis en zone rouge et qu’un patient en zone verte a besoin d’une évaluation médicale, c’est compliqué, car je dois passer par une « décontamination ». À l’aide d’une station comme celle du Dr Quinty, je pourrais faire ma tournée médicale dans la zone verte, sans sortir de la zone rouge. C’est une façon de se dédoubler ! De plus, cela permettrait d’utiliser moins d’équipement de protection. »

Pour l’omnipraticienne, les bonnes idées en santé sont faites pour être copiées ou adaptées à la réalité régionale de chacun. Elle fait d’ailleurs des démarches pour doter les CHSLD de son CISSS de stations mobiles.

Une communauté est née

C’est la COVID-19 — encore elle — qui est à l’origine de la communauté de pratique des médecins en CHSLD. Si la pandémie a frappé fort dans les CHSLD au printemps dernier, elle a aussi entraîné une vague d’entraide et de collaboration sans précédent. Les barrières tombaient. Des médecins venaient donner un coup de main dans les CHSLD. L’information circulait.

Par exemple, la Dre Sophie Zhang et la Dre Julia Chabot, gériatre au Centre hospitalier de St. Mary, ont réuni en un seul guide électronique les documents sur la gestion des éclosions de COVID-19 en CHSLD qu’elles avaient conçus avec leur équipe respective. « Nous nous sommes dit qu’il fallait partager notre expérience avec nos collègues de partout au Québec », dit la Dre Zhang, qui a contribué à gérer plus de 1 200 cas de cette maladie.

La crise a aussi donné une voix aux médecins en CHSLD. « Le Dr Quoc Dinh Nguyen nous a consultés plusieurs fois pour avoir notre opinion terrain sur divers dossiers, comme le retour des proches aidants dans les établissements », indique l’omnipraticienne. Gériatre au Centre hospitalier de l’Université de Montréal, le Dr Nguyen présidait un groupe d’experts qui conseillait le gouvernement sur les mesures pour les aînés pendant la première vague.

Tout cela devait continuer. « Les canaux de collaboration et de communication étaient ouverts. Il fallait qu’ils le restent, d’autant plus qu’il n’existait pas de regroupement de médecins en CHSLD », indique la Dre Zhang qui pratique aux CHSLD Jean-De La Lande et Paul-Bruchési, ainsi qu’au GMF-U des Faubourgs.

Mission élargie après la pandémie

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La communauté de pratique des médecins en CHSLD a été créée l’été dernier et, dès septembre, elle s’intégrait au Collège québécois des médecins de famille (CQMF). Ses fondateurs ont pris cette décision pour en assurer la pérennité et en accroître l’influence dans le réseau de la santé. « Avec le rayonnement, le financement et l’aide administrative que nous procure le CQMF, nous avons bon espoir que la communauté ne disparaîtra pas après la COVID », affirme la Dre Zhang, qui en est coprésidente avec la Dre Boulanger.

Pour le moment, la nouvelle communauté de pratique se concentre sur la COVID-19. Toutefois, d’autres mandats s’ajouteront lorsque la vie normale reprendra. Par exemple, on discutera d’enjeux cliniques, comme les trajectoires de soins, la déprescription, l’approche palliative, etc. Il sera aussi question de collaboration interdisciplinaire. Le comité directeur souhaite également mettre sur pied une infrastructure de recherche en CHSLD, participer à la réflexion sociale sur les milieux d’hébergement des aînés dans la province et même tisser des liens avec des résidences privées qui offrent des soins.

« Notre objectif principal, c’est d’améliorer les soins aux personnes âgées et la qualité de la pratique médicale en CHSLD, souligne la Dre Sophie Zhang. Notre communauté de pratique contribuera aussi à donner une voix plus forte aux patients, aux travailleurs et aux milieux d’hébergement, jusqu’à maintenant peu représentés dans les instances administratives, professionnelles et gouvernementales. » 

23 novembre 2020

DENIS MÉTHOT – ProfessionSanté – L’actualité médicale

Photo : ProfessionSanté

Après la télémédecine, dont l’usage a explosé cette année au Québec en raison de la pandémie, un autre pas s’apprête à être franchi avec le déploiement à l’échelle provinciale du «conseil numérique». Ce mécanisme permet à un médecin de famille de demander un conseil ou un avis à un spécialiste via une plateforme numérique et d’obtenir une réponse en sept jours ou moins. Étant donné l’attente parfois très longue pour obtenir une consultation dans certaines spécialités, cet outil constituera un raccourci qui devrait bénéficier à des dizaines de milliers de patients.

L’avantage principal du conseil numérique sera d’éviter le transfert inutile de cas simples en spécialité alors qu’ils peuvent être résolus en 10 ou 15 minutes d’échanges entre deux médecins. Lors des trois projets-pilotes menés au Québec, le conseil numérique a permis d’éviter une consultation en spécialité pour 40% des demandes soumises. Grâce aux recommandations obtenues auprès du médecin spécialiste, le médecin de famille a revu son patient et conclu le dossier en quelques jours.

La référence en spécialité a été maintenue dans 28% des cas. Toutefois, grâce au conseil numérique, le rendez-vous avec le médecin spécialiste aura été plus efficace, car après avoir pris connaissance de la demande, ce dernier avait pu demander à l’omnipraticien des examens préalables ou supplémentaires avant de recevoir le patient. Il était donc mieux préparé à faire le suivi.

Des réponses extrêmement rapides

Là où le conseil numérique trouve toute son utilité, c’est pour avoir des réponses extrêmement rapides à des problèmes cliniques qui sont nouveaux pour l’omnipraticien ou pour lesquels il a besoin d’une confirmation de diagnostic, de traitement ou de médication de la part d’un médecin spécialiste. Exemple, un résultat d’examen signale une anomalie que le médecin de famille n’a jamais vue. Plutôt que de référer tout de suite le patient, l’omnipraticien écrit à un collègue participant en spécialité et lui demande conseil.  Il reçoit la réponse en une semaine ou moins.  Avec les précisions qu’il aura reçues, il pourra appeler ou revoir le patient pour compléter lui-même la démarche thérapeutique ou encore engager le processus de transfert.

Déploiement prochain

Ce mécanisme de consultation qui vise à éliminer les très longs et parfois inutiles délais pour être vus en médecine spécialisée a été mis au point il y a 10 ans en Ontario par deux femmes médecins, l’omnipraticienne Clare Liddy et l’endocrinologue Erin Keely qui étaient révoltées par les incroyables échéances pour être vu en spécialité. La formule a été reprise au Québec à l’initiative du Collège québécois des médecins de famille (CQMF) en 2014, à l’époque où la Dre Maxine Dumas-Pilon en était la présidente. Elle a fait l’objet de projets-pilotes dans l’Outaouais à compter de 2017, puis en Abitibi-Témiscamingue et en Mauricie-Centre-du-Québec à partir de 2018.  Lors de cette période d’essai et de rodage, 263 médecins de famille et 62 médecins spécialistes de 28 disciplines différentes se sont inscrits à «eConsult», et 4 771 consultations ont été réalisées.

Le ministère de la Santé et des Services sociaux s’était vite impliqué dans l’initiative du CQMF. C’est lui aujourd’hui qui en est le maître-d’œuvre et s’apprête à lancer ce service à travers la province sous le nom français de «conseil numérique». Presque tous les éléments sont déjà en place. La plateforme web est prête et opérationnelle. Un accord sur la rémunération rattachée à cet acte pour les médecins de famille a été conclu le 16 novembre.  En date du 19 novembre, il restait à finaliser une pareille entente avec la FMSQ et à compléter le recrutement de médecins spécialistes motivés à offrir ce nouveau service.

On avance que Québec pourrait lancer le conseil numérique au mois de janvier 2021. Le plan de match du Ministère n’est pas connu. La Dre Dumas-Pilon s’attend à un déploiement progressif, d’abord avec un certain nombre de spécialités et de médecins, et à ce que l’adhésion croisse avec la demande.

Pour toutes les spécialités

Dans les régions du Québec où se sont déroulés les projets pilotes de «eConsult», les spécialités qui étaient les plus sollicitées par les médecins de famille étaient la dermatologie, la médecine interne, l’endocrinologie, la neurologie, la gynécologie et la psychiatrie. Selon la Dre Dumas-Pilon, qui agit aujourd’hui comme consultante pour le Ministère dans ce dossier, l’ensemble des spécialités se prêtent au conseil numérique. Après la télémédecine, elle y voit une nouvelle façon innovante d’offrir des soins à la population.

Aucun médecin ne sera toutefois obligé d’y adhérer et nul besoin non plus que tous les médecins spécialistes embarquent. Quelques individus motivés peuvent faire le travail dans une région. En Outaouais, deux dermatologues avaient été participantes et une endocrinologue a couvert trois régions.

Fonctionnement du conseil numérique

De préciser la Dre Dumas-Pilon, le conseil numérique ne deviendra pas un outil de triage du CRDS, mais dans la démarche, il précède le CRDS.  La procédure est simple. Le médecin de famille entre en contact avec le spécialiste via une plateforme web sécurisée qui permet des communications asynchrones. Il choisit la spécialité, entre le nom et l’âge du patient et pose sa question clinique. Il peut ajouter des documents, comme des photos. Le spécialiste aura sept jours pour répondre à sa demande initiale, mais lors des projets pilotes, le délai moyen de retour était de quatre jours. Le médecin de famille peut demander des précisions additionnelles. L’échange se poursuit tant que l’omnipraticien n’aura pas eu les réponses qu’il voulait. Lors des projets pilotes au Québec, le conseil numérique était accessible via un ordinateur, une tablette ou un téléphone intelligent.

Remplir une demande peut prendre à un médecin de famille de 5 à 15 minutes selon les cas, voire jusqu’à 30 minutes et plus en psychiatrie. «Il y a une charge de travail, mais il y a des économies de temps pour le médecin, et le patient ne vient pas te revoir plusieurs fois dans la même année avec le même problème parce que tu es toujours en attente de la réponse du spécialiste», souligne la Dre Dumas-Pilon.

Le volume de demandes qu’expédient les médecins de famille n’est pas affolant.  La Dre Annabelle Lévesque-Chouinard, qui a été la première médecin de famille à y recourir au Québec, l’utilise en moyenne une fois par semaine. Le Dr Éric Himaya, un gynécologue de l’Outaouais qui participe au conseil numérique depuis 2017, dit recevoir une à deux demandes hebdomadaires.  Il répond souvent au moyen de son téléphone cellulaire entre deux occupations et estime que chaque réponse lui prend environ 10 minutes car il donne beaucoup d’informations. Sinon, elle pourrait être plus rapide.

Les avantages du conseil numérique

En bout de ligne, le grand gagnant du conseil numérique sera le patient, car grâce à son médecin de famille, il aura obtenu l’avis d’un médecin spécialiste en sept jours ou moins plutôt qu’en quelques mois et son problème sera peut-être réglé rapidement par son omnipraticien, ce qui va réduire son taux d’anxiété et éviter une détérioration possible de son état.

Le médecin de famille y trouve aussi son compte, car en plus d’offrir un meilleur service à son patient, il en tire un enseignement professionnel important. De son côté, le médecin spécialiste participant aura la satisfaction de penser qu’il fait de la bonne médecine et qu’un patient n’aura pas eu à attendre des mois, voire des années, pour obtenir ses conseils. Finalement, tout le système de santé et la société y gagnent, croit la Dre Dumas-Pilon.

L’avènement du conseil numérique va-t-il affecter le recours au CRDS? «Il faudra que les médecins recourent au conseil numérique pour qu’il ait un impact, estime l’ancienne présidente du CQMF. Le défi à relever, c’est de le faire connaître auprès des omnipraticiens qui l’utilisent, de bien attacher l’offre de médecins spécialistes de l’autre côté et qu’ils veuillent bien répondre aux demandes qui leur seront adressées.»

Solidarité et partage pour affronter la deuxième vague

Montréal, 2 novembre 2020 – « Nous lançons officiellement aujourd’hui la Communauté de pratique des médecins en CHSLD (CPMC) », annoncent les Dres Sophie Zhang et Élise Boulanger, coprésidentes du comité directeur de la CPMC. La communauté de pratique des médecins en centre d’hébergement et de soins de longue durée offre un lieu de communication entre médecins, de partage de ressources et de diffusion des meilleures pratiques en lien avec la COVID-19 dans les milieux de soins de longue durée.

« La deuxième vague est amorcée. La CPMC vise à mettre en lien des médecins de régions moins touchées par la COVID-19 avec d’autres médecins plus expérimentés. Il faut partager les leçons apprises ce printemps pour que tout le monde soit mieux outillé face à ce qui s’en vient », souligne la Dre Sophie Zhang.

Partager, soutenir et diffuser les meilleures pratiques

Mis en ligne depuis peu, le site Internet de la CPMC (www.cpmchsld.ca) a connu un trafic significatif. Jusqu’à maintenant, plus de 300 médecins de diverses régions du Québec sont devenus membres de la communauté. Le 16 octobre dernier, c’est plus d’une centaine d’entre eux qui participaient à un premier webinaire organisé par la CPMC intitulé Leçons de la pandémie, pour naviguer vers l’avenir des services et des soins aux personnes âgées, présenté par le Dr Quoc Dinh Nguyen, gériatre-interniste, auparavant à la tête du groupe d’experts des milieux de vie pour aînés et membre fondateur de la CPMC.

« Il faut revaloriser le travail en CHSLD, promouvoir la qualité des soins aux personnes âgées et garantir l’équité des ressources dans le système de santé. Avoir la possibilité de réseauter et d’échanger entre médecins est un pas dans la bonne direction », poursuit la Dre Élise Boulanger.

Pour améliorer les soins et les services en centre d’hébergement

La CPMC a été créée dans la foulée de la pandémie de COVID-19 au Québec. Cette crise sanitaire majeure a mis en lumière les besoins d’échange et de renforcement des liens entre médecins des CHSLD. L’idée de sa création est née des nombreux échanges entre des médecins de famille et des gériatres très impliqués pendant la première vague. Unis par leur engagement sur le terrain ainsi qu’à différents niveaux de gestion, les membres fondateurs ont voulu donner une voix plus forte aux CHSLD, jusque-là peu représentés dans les instances administratives, professionnelles et gouvernementales.

En septembre 2020, la CPMC a intégré les rangs du Collège québécois des médecins de famille (CQMF). Bien que la COVID-19 sera l’enjeu de l’année en cours, le comité directeur de la CPMC a l’intention de poursuivre ses activités bien au-delà de la pandémie, pour couvrir d’autres thématiques en lien avec les soins de longue durée.

Source : Communauté de pratique des médecins en CHSLD (CPMC)

Pour information : Dre Sophie Zhang, coprésidente, sophie.zhang.ccsmtl@ssss.gouv.qc.ca et Dre Élise Boulanger, coprésidente, elise.boulanger.med@ssss.gouv.qc.ca; Linda Lévesque, responsable des communications, CQMF, llevesque@cqmf.qc.ca, 514 242-8909.

Ressources en lien avec la COVID-19

Niveaux d’interventions médicales (NIM) : PARLONS-EN dans le contexte de la pandémie de COVID-19 ‒ Ministère de la Santé et des Services sociaux

Recommandations sur l’utilisation des vaccins contre la COVID-19 ‒ Comité consultatif national de l’immunisation (CCNI).

Trousse d’outils de sensibilisation publiée par l’Agence de la santé publique du Canada.

Ressources du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec pour les professionnels-les de la santé.

Réponses rapides produites par l’INESSS présentant des constats et positions sur des enjeux en lien avec la COVID-19.

Outil de vulgarisation pour expliquer les niveaux de soins.

TopCOVID-19 pour un soutien à vos équipes durant cette période de pandémie; vidéos, sites et publications pertinentes.

Information et ressources du CMFC.

Webinaires du CMFC diffusés en direct portant sur des sujets cliniques.
Il est possible d’écouter les enregistrements de ces webinaires dans la section « Webinaires précédents« .

Répertoire de ressources pour les activités pédagogiques fondamentales.

Triage pour l’accès aux soins intensifs et l’allocation des ressources (Collège des médecins du Québec).

Guide d’accompagnement du PAMQ pour mettre sur pied ou rejoindre un groupe de soutien favorisant la discussion entre médecins.

L’Agence de la santé publique du Canada publie le nouveau guide intitulé Prise en charge clinique des patients ayant la COVID-19 – Lignes directrices provisoires, deuxième version.

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Caroline Laberge, M.D., CCMF, FCMF

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